Archives de la catégorie : Environnement

Le parc Valero les Écarts se porte beaucoup mieux

Par | 22 avril 2014 |

Article de Pierre Duquet. Le Peuple Lévis. Les Amis du Boisé de l’Auberivière (ABA) veillent bénévolement à l’entretien du parc les Écarts, propriété de Valero, depuis plusieurs années. En 2013, Le Peuple rapportait que des manques de civilités et des méfaits y avaient été commis. Les choses vont beaucoup mieux, selon les administrateurs du conseil… Lire la suite »

Crues printanières – Lévis prête à intervenir

Par | 2 avril 2014 |

Article de Mélanie Labrecque. Le Peuple Lévis. La Ville de Lévis est prête à intervenir advenant le cas où les crues printanières remettent en suspension des sédiments contaminés aux hydrocarbures dans la rivière Chaudière. Dès l’augmentation significative des débits de la rivière Chaudière, la ville de Lévis effectuera des analyses quotidiennes de la qualité de… Lire la suite »

La Ville a envisagé de confier la gestion de l’Écocentre au privé

Par | 17 mars 2014 |

Article de Pierre Duquet. Le Peuple Lévis.

Le Service des matières résiduelles a exploré la possibilité de confier la gestion de l’Écocentre à l’entreprise privée, indique une fiche de prise de décision de la Ville de Lévis. Toutefois, la Ville a plutôt décidé de conclure une entente avec le syndicat des cols bleus. De plus, l’Écocentre sera désormais accessible le dimanche.

En voulant confier la gestion de l’Écocentre à l’entreprise privée, la Ville de Lévis cherchait à rendre les horaires plus flexibles et, bien sûr, à réduire les coûts d’exploitation. À la suite d’un appel d’offres comportant plusieurs options, il est vite apparu que les soumissions obtenues ne permettraient pas de réaliser des économies.

La Ville s’est donc tournée vers ses cols bleus et une entente a été conclue. Celle-ci prévoit un nouvel horaire modulé selon les saisons en fonction de l’achalandage connu. Selon la Ville, cet horaire amélioré permet d’offrir une meilleure accessibilité à l’Écocentre tout en réduisant les coûts de gestion.

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Décision de l’ONÉ : La Chambre de commerce de Lévis se réjouit de la décision

Par | 8 mars 2014 |

Source : La Chambre de commerce de Lévis.

La Chambre de commerce de Lévis tient à exprimer sa satisfaction à l’égard de la décision positive rendue aujourd’hui par l’Office national de l’énergie (ONÉ) à l’égard du projet d’inversion de la Ligne 9B, et surtout ce que cela signifie pour la Raffinerie Jean-Gaulin de Lévis qui bénéficiera d’un meilleur approvisionnement pétrolier en provenance de l’Ouest du continent nord-américain.

« Comme nous avons eu l’occasion de l’exprimer en différentes occasions et devant diverses instances, un accès facilité à ce pétrole de source sûre et disponible à meilleur coût que les approvisionnements actuels, lesquels proviennent essentiellement de l’étranger, est une excellente nouvelle pour notre ville et notre région », a dit Jérôme Jolicoeur, président de la Chambre de commerce de Lévis.

« Il est important de rappeler que l’accès à cette nouvelle source d’approvisionnement permettra à la raffinerie Jean-Gaulin de Valero à Lévis, l’une des plus avancées technologiquement en Amérique du Nord, de mieux faire face à la concurrence et de renforcer des emplois de qualité dans la région.

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Le centre de compostage sur la glace à Lévis

Par | 7 mars 2014 |

Article de Stéphanie Martin. Le Soleil.

Le projet de centre de compostage à Lévis est sur la glace. Plus de deux ans après avoir acheté les terrains, la Ville continue de faire traiter les matières compostables par le privé.

La Ville avait mené en septembre 2011 une consultation publique sur l’implantation d’un centre de compostage à Saint-Étienne. Au cours de cette rencontre, on parlait d’une mise en service en 2013. Depuis, plus de nouvelles. Jeudi, le conseiller Guy Dumoulin, président de la Régie intermunicipale de gestion des déchets des Chutes-de-la-Chaudière, a affirmé que la décision n’avait pas encore été prise quant à l’installation dont la Ville souhaite se doter.

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Le CN retarde le projet de la Grande plée Bleue

Par | 6 mars 2014 |

Article de Pierre Duquet. Le Peuple Lévis.

La Ville de Lévis demande au Canadien National (CN) de terminer une fois pour toutes, la restauration de la tourbière contaminée par le déraillement d’un convoi pétrolier dans le secteur du quartier Saint-Joseph-de-la-Pointe-Lévy, 2004.

La résolution adoptée par le conseil de la Ville de Lévis, le 3 mars, rappelle au CN que son retard à finaliser les travaux de réhabilitation du terrain contaminé empêche le ministère de l’Environnement de compléter le projet de réserve écologique de la Grande plée Bleue, pour lequel la Ville s’apprête à investir un million de dollars avec l’appui de la Communauté métropolitaine de Québec. « Dix ans plus tard, a rappelé le maire de Lévis, Gilles Lehouillier, il reste encore en 5000 et 25 000 litres de produits pétroliers encore présents dans la tourbière. » Le 17 août 2004, 18 des 58 wagons-citernes du train bloc de Valero (Ultramar à l’époque) ont déraillé dans la Grande plée Bleue en y déversent environ 200 000 litres d’un mélange d’essence et de mazout.

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Lévis s’oppose à la reconversion des terres sur le site de Rabaska

Par | 6 février 2014 |

Article de Éric Gourde. La Voix du Sud.

Le statu quo demeure la meilleure façon de concilier le développement économique de la région avec la protection des intérêts agricoles. C’est en ces termes que le maire de Lévis, Gilles Lehouillier, a pladé la position de sa ville au terme d’une rencontre avec le facilitateur nommé par Québec chargé de recommander au gouvernement la vocation que devraient prendre les terres sur lesquelles était projeté Rabaska.

Ce dernier rappelle qu’en vertu de l’entente signée en 2007 avec l’Union des producteurs agricoles (UPA), Rabaska s’engageait à ce que près de 50 % des terres lui appartenant, soit 80 hectares, conservent leur vocation agricole. « Cette entente, toujours valide, fait en sorte que le potentiel agricole de ce territoire n’est pas compromis; il est même très bien exploité. »

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L’eau brute et traitée fera l’objet d’analyses rigoureuses

Par | 5 février 2014 |

Article de Pierre Duquet. Le Peuple Lévis.

La rivière Chaudiêre sera de nouveau sous haute surveillance au retour du printemps et les Villes de Saint-Georges, de Sainte Mairie et de Lévis ont lancé conjointement un appel d’offres pour obtenir les services d’un laboratoire accrédité en analyse environnementale.

À la suite du déversement d’hydrocarbures de Lac-Mégantic dans la riviêre Chaudiêre, l’été dernier, un programme de suivi analytique a été élaboré par le ministêre de l’Environnement, la Direction de la santé publique de la santé publique de l’Agence de la santé et des services sociaux de Chaudiêre-Appalaches et le ministêre de l’Environnement.

Les municipalités concernées qui utilisent la riviêre Chaudiêre comme source d’approvisionnement en eau potable se sont engagées à mettre en place ce programme (2013-2014) de suivi pour une durée minimum de 12 mois. Il reste un minimum de huit mois à couvrir. C’est dans ce contexte que les Villes de Saint-Georges, de Sainte-Marie et de Lévis ont décidé d’accomplir en commun une demande de soumissions pour accorder un contrat à un laboratoire d’analyse.

C’est toutefois la Ville de Sainte-Marie qui produira le devis de l’appel d’offres et le rapport découlant du processus. Cette façon de procéder, prévue par la Loi sur les cités et Villes, permettra d’obtenir un meilleur prix compte tenu du nombre plus élevé d’échantillons à analyser.

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Le fédéral veut céder ses terres de la ferme Chapais à des promoteurs

Par | 23 janvier 2014 |

Article de Stéphanie Martin. Le Soleil.

(Québec) Si la Ville de Lévis espère acquérir les terres de la ferme Chapais pour en faire un parc public, le gouvernement fédéral, propriétaire des terrains, a d’autres visées. Il souhaite les vendre au prix courant afin d’y permettre un développement résidentiel haut de gamme. Bras de fer en vue ?

La ferme expérimentale Jean-Charles-Chapais est située à l’extrémité nord de la route des Iles, à Saint-Romuald, sur une terre de 414 000 mètres carrés qui descend en trois paliers vers le fleuve et donne une vue imprenable sur Québec.

Dès janvier 2013, les élus de Lévis ont marqué l’intérêt de la Ville à devenir propriétaire des lots pour une valeur nominale. « La propriété présente un intérêt marqué au plan patrimonial et urbanistique », avait statué l’administration de Danielle Roy Marinelli.

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Ferme Chapais : multiples appuis pour le parc

Par | 23 janvier 2014 |

Article de Stéphanie Martin. Le Soleil.

(Québec) Le sort de la ferme Chapais, à  Lévis, ne laisse pas indifférent. Alors que le député local Christian Dubé estime que les terres doivent devenir rien de moins que « les plaines d’Abraham de Lévis », la Commission de la capitale nationale lève la main pour participer à la sauvegarde du domaine que le fédéral veut vendre à des promoteurs immobiliers.

« C’est très clair. Moi, je veux que ça devienne les plaines d’Abraham de Lévis », lance sans hésitation le député de Lévis, Christian Dubé, quand on lui demande la vocation qu’il imagine pour le domaine de 40 hectares situé en bordure du fleuve et qui donne une vue imprenable sur Québec.

Le député de la Coalition avenir Québec se sent très interpellé par le sort réservé aux terres de la ferme Chapais. Il souligne que ce dossier fait d’ailleurs partie des priorités sur lesquelles il compte se concentrer pour l’année 2014.

M. Dubé a appris avec surprise dans Le Soleil mercredi matin les visées du fédéral pour les terrains de la ferme expérimentale Jean-Charles-Chapais. Comme tous les intervenants auxquels Le Soleil a parlé, il s’attendait à ce que le gouvernement cède les terrains pour une valeur nominale et les offre aux ministères fédéraux, aux sociétés d’état, aux administrations provinciales et, éventuellement, à la Ville.

=> Lire la suite au lesoleil.com.