Lévis s’oppose à la reconversion des terres sur le site de Rabaska

Par | 6 février 2014 |

Article de Éric Gourde. La Voix du Sud.

Le statu quo demeure la meilleure façon de concilier le développement économique de la région avec la protection des intérêts agricoles. C’est en ces termes que le maire de Lévis, Gilles Lehouillier, a pladé la position de sa ville au terme d’une rencontre avec le facilitateur nommé par Québec chargé de recommander au gouvernement la vocation que devraient prendre les terres sur lesquelles était projeté Rabaska.

Ce dernier rappelle qu’en vertu de l’entente signée en 2007 avec l’Union des producteurs agricoles (UPA), Rabaska s’engageait à ce que près de 50 % des terres lui appartenant, soit 80 hectares, conservent leur vocation agricole. « Cette entente, toujours valide, fait en sorte que le potentiel agricole de ce territoire n’est pas compromis; il est même très bien exploité. »

Catégorie(s) : Développement du territoire,  Environnement,  Gouvernement
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À propos de Pascal Petitclerc

Originaire du quartier Saint-Sauveur dans la basse-ville de Québec, Pascal a depuis longtemps été intéressé par l'urbanisme et l'aménagement du territoire. Il a créé Lévis Urbain en 2003, en s'inspirant de Québec Urbain, pour palier à certaines lacunes de l’époque en ce qui a trait à l’information véhiculé sur l’urbanisme, le transport en commun, l’environnement, les projets immobiliers et commerciaux et l’aménagement du territoire dans les médias régionaux du Québec métropolitain.

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