Article de Éric Gourde. La Voix du Sud.
Le statu quo demeure la meilleure façon de concilier le développement économique de la région avec la protection des intérêts agricoles. C’est en ces termes que le maire de Lévis, Gilles Lehouillier, a pladé la position de sa ville au terme d’une rencontre avec le facilitateur nommé par Québec chargé de recommander au gouvernement la vocation que devraient prendre les terres sur lesquelles était projeté Rabaska.
Ce dernier rappelle qu’en vertu de l’entente signée en 2007 avec l’Union des producteurs agricoles (UPA), Rabaska s’engageait à ce que près de 50 % des terres lui appartenant, soit 80 hectares, conservent leur vocation agricole. « Cette entente, toujours valide, fait en sorte que le potentiel agricole de ce territoire n’est pas compromis; il est même très bien exploité. »