Selon Radio-canada.ca, l’injonction obtenue par deux groupes environnementaux pour stopper les travaux préparatoires à l’implantation d’un centre de déchiquetage de carcasses d’automobiles à Lévis est prolongée.
Le promoteur, AIM-Québec, a obtenu un délai de 15 jours pour répondre à des questions que lui posait la Cour supérieure. L’entreprise doit déposer différentes analyses visant à démontrer que les appréhensions des écologistes ne sont pas fondées.
Les opposants estiment que l’ancien dépotoir représente un danger pour la rivière Etchemin.
Le débat sur le fond de l’injonction n’aura lieu que lorsque ces documents seront déposés. Mais déjà, l’Association de lutte contre la pollution atmosphérique et le Comité de restauration de la rivière Etchemin entendent demander à la Cour la possibilité de fournir leurs propres expertises.