C’est évidemment les études sur la réorganisation des villes qui retient l’attention des médias aujourd’hui. à Québec, on apprend que c’est la couronne et non le coeur de la capitale qui sortirait perdante d’une réorganisation. Pour Lévis on retrouve le même genre de projections : la ville-centre serait la seule gagnante d’une défusion à court terme. Les citoyens des anciennes municipalités se verraient refiler des hausses de taxes variant de 4 à 15%. à long terme par contre, l’impact du démembrement des 10 municipalités est beaucoup moins important et il devient même positif dans certains cas.
Le débat est lancé…