Retard du premier bâtiment de l’Innoparc : Aucun impact sur le projet

Par | 26 août 2010 |

Article de Marie-Christine Patry. Le Journal de Lévis.

Le premier immeuble multilocatif de l’Innoparc ne sera pas bâti à l’automne, comme il avait été annoncé précédemment, mais plutôt au printemps. Toutefois, cela n’aura aucun impact majeur sur l’ensemble du projet, a tenu à préciser Nathalie Quirion, directrice générale par intérim du Parc Technologique de Québec, partenaire dans ce projet.

Selon Mme Quirion, le retard dans la construction du premier bâtiment n’affectera en rien la réalisation du projet dans son ensemble. « La ville s’est donnée quelques années pour rendre l’Innoparc de Lévis effectif. Cela ne fait donc pas en sorte que le projet global soit retardé. C’est un dossier qui chemine très bien », assure-t-elle.

En fait, poursuit-elle, les constructions du premier immeuble multilocatif débuteront plutôt au printemps pour que le plus d’entreprises possible y soient installées le temps opportun. Elle soutient qu’il n’est pas simple de s’assurer de la présence de plusieurs entreprises, qui veulent s’installer au même moment en plus. Plusieurs seraient intéressées, mais pas nécessairement pour tout de suite.

Pour le moment, elle confirme une dizaine de locataires pour le futur Innoparc. Le seul locataire connu est toutefois la nouvelle Chaire de recherche industrielle en efficacité énergétique de l’école de technologie supérieure de Montréal. Selon Mme Quirion, cette dernière ne sera pas défavorisé par le retard dans la construction du premier immeuble. « Il est bien certain que le plus tôt est le mieux, mais il s’agit que d’un ancrage physique, cela n’empêche pas que la Chaire fait déjà partie de l’Innoparc », explique Mme Quirion. Ainsi, le lien avec l’Innoparc lui permet d’ores et déjà de profiter des avantages d’une telle association.

Les travaux d’aménagement que la Ville de Lévis devait débuter cet été n’ont pas encore été entamés non plus. Christian Brière à la direction des communications de la Ville de Lévis explique que la négociation de gré à gré avec les propriétaires des lots a pu retarder un peu le processus. De même, il rappelle que la municipalité est toujours en attente d’une réponse des gouvernements du Québec et du Canada concernant les subventions pour le projet.


Reproduit avec autorisation.

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