Source : Radio-Canada.ca
La compagnie américaine a reçu le feu vert pour construire son usine de déchiquetage de vieilles voitures.
À la suite d’une longue bataille entre des groupes environnementalistes et la compagnie américaine de métaux AIM, l’entreprise reçoit le feu vert pour construire son usine de déchiquetage de vieilles voitures à Lévis.
Ce n’est pas la première fois que l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA) entre en guerre contre la compagnie AIM. Cette fois-ci, le juge Bernard Godbout souligne que les inquiétudes de l’AQLPA sont justifiées.
Le juge remarque que l’entreprise, la ville de Lévis et le ministère de l’Environnement procèdent hâtivement, « ce qui fait en sorte qu’à tout moment on doit compléter ou corriger une situation », écrit-il.
L’usine doit être construite sur un site contaminé où se trouvait autrefois un dépotoir. Les groupes écologistes soutiennent que l’entreprise a tenté d’échapper à la décontamination de certaines zones du site. Le porte-parole de la compagnie de métaux, Denis Simard, affirme que AIM a toujours eu l’intention de décontaminer le site.
Des acteurs de AIM soutiennent que les groupes environnementalistes qui s’opposent à son projet sont payés par la Société nationale de ferraille (SNF). L’entreprise intente une poursuite de cinq millions de dollars contre les écologistes qui se disent prêts à se battre.
à quand l’escalier rouge va être terminé…ça fait 3 fois que c’est remis… ça dort à lévis, n’est-ce pas..