Forte hausse des ventes à Lévis

Par | 20 octobre 2012 |

Source :Le Peuple Lévis

La force du marché immobilier sur la Rive-Sud ne se dément pas. En plus d’afficher des ventes supérieures à la moyenne provinciale pour le deuxième trimestre de 2012, le prix médian d’une résidence à Lévis est fort supérieur à ce qui a été enregistré ailleurs dans la région de Chaudière-Appalaches.

Pour mieux interpréter les résultats, la Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ) a divisé Lévis en trois secteurs: Desjardins, Chutes-de-la-Chaudière-Est et Chutes-de-la-Chaudière-Ouest. Pour les deux premiers, les ventes ont augmenté de 13% lors du deuxième trimestre de 2012, se rapprochant ainsi des 14% enregistrés dans Chaudière-Appalaches et dépassant la moyenne provinciale de 9%. Pour la région de Chutes-de-la-Chaudière-Ouest, le nombre de ventes a explosé, augmentant de 21% lors de la même période.

Les prix demeurent élevés
Contrairement à l’ensemble de la région de Chaudière-Appalaches, les prix des résidences de la Rive-Sud sont très près de la moyenne québécoise. Lors du deuxième trimestre de 2012, le prix médian d’une maison unifamiliale dans Chutes-de-la-Chaudière-Est a grimpé de 5% pour atteindre 232 000$, dépassant même la médiane québécoise de 229 000$. Toute une différence avec le prix médian de Chaudière-Appalaches, s’établissant à seulement 167 000$.

Dans Chutes-de-la-Chaudière-Ouest, le prix médian pour le même type de résidence s’élève même à 240 000$ pour la même période, et ce malgré une baisse de 1% par rapport à l’année dernière. Seules les maisons unifamiliales du secteur Desjardins ont un prix médian plus bas que celui du cumulatif provincial, s’établissant à 207 000$ en raison d’un recul de 4%.


Article de Frédéric Mercier. Reproduit avec autorisation.

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À propos de Pascal Petitclerc

Originaire du quartier Saint-Sauveur dans la basse-ville de Québec, Pascal a depuis longtemps été intéressé par l'urbanisme et l'aménagement du territoire. Il a créé Lévis Urbain en 2003, en s'inspirant de Québec Urbain, pour palier à certaines lacunes de l’époque en ce qui a trait à l’information véhiculé sur l’urbanisme, le transport en commun, l’environnement, les projets immobiliers et commerciaux et l’aménagement du territoire dans les médias régionaux du Québec métropolitain.

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