Entente fédéral-provincial : 2,7M$ à la STL

Par | 16 juillet 2005 |

Article de Jean-Pierre D’Auteuil. Le Journal de Lévis.

L’entente sur le transfert de la taxe sur l’essence permettra à la Société de transport de Lévis (STL) de recueillir 2,7 M$ sur cinq ans.cdes montants variant de 268 000$ à 724 000$ au cours de cette période. Ces sommes d’argent serviront notamment à faire l’acquisition d’autobus à plancher bas.

« L’entente intervenue entre le fédéral et le provincial se veut un support au développement du transport collectif de la Rive-Sud et un appui important pour la mise en oeuvre du Plan stratégique 2006-2015 de la Société de Transport de Lévis. Cette annonce est un signal majeur de la part des gouvernements de poursuivre le développement du transport en commun », a mentionné le directeur général de la STL, Mario Sirois.

Négos avec le gouvernement
Reste maintenant aux dirigeants de la STL à convaincre le gouvernement de revoir la formule utilisée actuellement pour la distribution des montants reliés au fonds d’immatriculation. Pour l’heure, si l’on compare avec les sociétés de transport de Trois-Rivières, Saguenay, Sherbrooke et Gatineau, la STL est la seule à ne pas recevoir la totalité du montant qu’elle devrait obtenir.

Annuellement, c’est plus de 1M$ (50 % des montants) qui se dirigent dans les coffres du réseau de transport de la Capitale. Une situation d’iniquité existe depuis 1991 et limite le développement du transport en commun à Lévis. Enfin, on attend avec impatience le dépôt du nouveau cadre financier de la part du ministre des Transports, Michel Desprès. Des rencontres sont prévues entre les dirigeants de la STL et l’entourage du ministre des Transports.


Reproduit avec autorisation.

Catégorie(s) : Gouvernement,  Transports
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À propos de Pascal Petitclerc

Originaire du quartier Saint-Sauveur dans la basse-ville de Québec, Pascal a depuis longtemps été intéressé par l'urbanisme et l'aménagement du territoire. Il a créé Lévis Urbain en 2003, en s'inspirant de Québec Urbain, pour palier à certaines lacunes de l’époque en ce qui a trait à l’information véhiculé sur l’urbanisme, le transport en commun, l’environnement, les projets immobiliers et commerciaux et l’aménagement du territoire dans les médias régionaux du Québec métropolitain.

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