Desjardins dévoile le plus haut mur végétal intérieur au monde

Par | 2 mai 2014 |

Source : Communiqué de Desjardins.

Le nouvel immeuble du Mouvement Desjardins, à Lévis, abrite le plus haut mur végétal intérieur au monde. Intitulée Les courants, l’oeuvre conçue par la firme Green over Grey s’inspire de l’empreinte du fleuve Saint-Laurent dans le paysage du Québec.

« Nous voulions poser un geste concret pour témoigner de notre engagement envers le développement durable et rehausser l’environnement de travail de nos employés par une série de gestes, petits et grands. L’imposant mur végétal qu’abrite le nouvel immeuble situé au 150, rue des Commandeurs, à Lévis, contribue à offrir à nos employés un environnement de travail agréable et différent. Il permet surtout d’améliorer la qualité de l’air ambiant et constitue une oeuvre d’art vivante unique, dont la beauté saisit », a déclaré la présidente et chef de la direction du Mouvement des caisses Desjardins, Mme Monique F. Leroux.

Selon le concepteur du mur, Green over Grey, le mur de l’édifice Desjardins est le plus haut mur végétal au monde à l’intérieur d’un bâtiment. « Ce mur, entièrement hydroponique, imite les stratégies de fixation des plantes sans sol le long des cours d’eau ou en milieux forestiers humides. Le résultat final, c’est un poumon vert au bénéfice des employés de Desjardins et une oeuvre d’art qui rehausse à la fois l’esthétique et la valeur de cet immeuble de prestige, tout comme l’acoustique des aires adjacentes. » mentionne M. Patrick Poiraud, directeur de Green over Grey.

Le mur végétal s’intègre dans le concept résolument écologique du nouvel immeuble qui sera livré en septembre 2014 et pour lequel Desjardins aspire à une certification LEED Or.

Catégorie(s) : Environnement

À propos de Pascal Petitclerc

Originaire du quartier Saint-Sauveur dans la basse-ville de Québec, Pascal a depuis longtemps été intéressé par l'urbanisme et l'aménagement du territoire. Il a créé Lévis Urbain en 2003, en s'inspirant de Québec Urbain, pour palier à certaines lacunes de l’époque en ce qui a trait à l’information véhiculé sur l’urbanisme, le transport en commun, l’environnement, les projets immobiliers et commerciaux et l’aménagement du territoire dans les médias régionaux du Québec métropolitain.

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