Archives de la catégorie : Gouvernement

Noms de rues à Lévis – Inquiétudes face au changement

Par | 5 juin 2014 |

Article de Valérie Bidégaré. Journal de Québec.

Même si la Ville tente de se faire rassurante, les commerçants de Lévis craignent de subir les impacts de la modification de près de 500 noms de rues sur le territoire.
Pas moins de 495 des 1759 rues regroupées sur la rive sud arboreront une nouvelle identification à compter du 12 janvier prochain. Parmi les changements majeurs figurent celui de la route 116 qui portera le nom de route des Rivières, et celui du boulevard de la Rive-Sud qui se nommera désormais boulevard Guillaume-Couture.

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=> Également : Noms de rues changés à Lévis : des commerçants inquiets.

Lévis revient à ses origines avec un boulevard Guillaume-Couture

Par | 3 juin 2014 |

Article de Stéphanie Martin. Le Soleil.

Adieu boulevard de la Rive-Sud, bonjour boulevard Guillaume-Couture. Le Soleil a appris que la plus importante artère de Lévis portera désormais le nom de l »homme à l »origine de la fondation de la ville, Guillaume Couture, ancêtre de tous les Couture d »Amérique. Et nouvelle dénomination aussi pour la route 116 qui deviendra la route des Rivières, pour marquer sa proximité avec deux cours d »eau d »importance : la Beaurivage et la Chaudière.\r\n\r\nLe menuisier, colonisateur, coureur des bois, interprète et premier habitant à s »installer dans la seigneurie de Lauzon aura finalement droit à une place de choix à Lévis. La Ville annoncera mardi que la portion de la route 132 qui traverse tout son territoire ou presque, de Lauzon à Saint-Nicolas, portera son nom.

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Sites contaminés : Lévis doit mettre de l’ordre dans ses listes

Par | 3 juin 2014 |

Article de Stéphanie Martin. Le Soleil. Lévis doit faire le ménage dans sa gestion de l’information concernant les sites contaminés, a averti le Vérificateur général de la Ville. Et ce, pour éviter de prendre de mauvaises décisions. Le vérificateur général de la Ville, André Matte, a rendu public lundi lors de la séance du conseil… Lire la suite »

Il semble impossible d’enterrer les conduites de Valero

Par | 30 mai 2014 |

Article de Pierre Duquet. Le Peuple Lévis. En février dernier, dans une lettre adressée au responsable du Regroupement pour la mise en valeur de la rue Saint-Laurent, Valero se disait ouverte à évaluer la proposition d’enfouissement de ses conduites. Or, il appert que cette structure ne peut être enterrée. La lettre signée par Véronique Roy,… Lire la suite »

La Ville ne peut obliger Valero à enterrer ses tuyaux

Par | 30 mai 2014 |

Article de Pierre Duquet. Le Peuple Lévis. LÉVIS – Le Peuple a informé le cabinet du maire des prétentions du Regroupement pour la mise en valeur de la rue Saint-Laurent voulant que le contrat établi en 1970 avec Golden Eagle permette à la Ville d’enfouir les conduites de l’entreprise. Le maire indique que ces prétentions… Lire la suite »

Enfouissement des tuyaux – On brandit le contrat de 1970 signé avec la Golden Eagle

Par | 30 mai 2014 |

Article de Pierre Duquet. Le Peuple Lévis. Selon une clause du contrat signé en 1970 avec la Golden Eagle, la Ville de Lévis aurait le droit d’enfouir ou de faire déplacer les conduites de pétrole installées le long de la berge du fleuve depuis plus de 40 ans pour alimenter la raffinerie Jean-Gaulin. C’est ce… Lire la suite »

Le pont Garneau pourrait revivre sous la forme d’un pont-passerelle

Par | 28 mai 2014 |

Article de Pierre Duquet. Le Peuple Lévis.

Plusieurs citoyens souhaitent que la Ville de Lévis construise un pont-passerelle à l’endroit même où était érigé le pont Garneau jusqu’à son démantèlement en 1955. Cette réalisation permettrait à la piste cyclable d’enjamber l’embouchure de la rivière Chaudière et de redonner ses titres de noblesse à ce lieu.

En 2012, à la suggestion de Florian Lambert, président des Compagnons de Chaudière-Bassin, Benoît Lafrance, responsable de formation pratique à l’École d’architecture de l’Université Laval, a obtenu que neuf étudiants du cours de Conception avancée de structure conçoivent et développent quatre propositions de projet d’un pont-passerelle piétonnier et cyclable enjambant les 115 mètres séparant les falaises de l’embouchure de la rivière Chaudière.

M. Lambert mijote cette idée depuis 2004. Il l’avait présentée au maire Jean Garon à l’époque. Mais le gâteau n’a pas levé. Il lui fallait une illustration de ce à quoi ça pourrait ressembler un tel pont-passerelle.

« J’ai présenté ça à l’École d’architecture, en janvier 2011, en expliquant que j’aimerais qu’on puisse faire la promotion d’une image de ce que pourrait être une passerelle, rappelle-t-il. Un projet comme celui-là a un rayonnement très large. »

Benoît Lafrance est l’un des membres fondateurs des Compagnons de Chaudière-Bassin. Il a dirigé le projet avec le professeur et ingénieur, Richard Pleau. L’historien de la Ville de Lévis, David Gagné, a également apporté sa contribution à ce projet étudiant.

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Un tunnel Québec-Lévis techniquement possible

Par | 27 mai 2014 |

Article de Annie Morin. Le Soleil.

Un représentant du plus gros fabricant de tunneliers au monde a visité Québec et Lévis pour une évaluation sommaire de la faisabilité d’un tunnel sous-fluvial entre les deux rives du Saint-Laurent. Il conclut qu’il est techniquement possible de construire un tel lien et propose une formule de partenariat public-privé pour y arriver.
« Techniquement, je ne vois pas ça comme trop difficile. Je pense que c’est vraiment une question de financement », a résumé Jack Brockway lors d’un entretien téléphonique avec Le Soleil. L’homme est président d’Herrenknecht USA, branche américaine de la multinationale allemande du même nom, qui conçoit sur mesure d’énormes machines pour creuser des tunnels.
M. Brockway parle en connaissance de cause, puisqu’il est passé par Québec il y a trois semaines, à l’invitation de l’ingénieur Jacques Huot.

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Entretien du pont de Québec : le CN s’est engagé sans devis formel

Par | 13 mai 2014 |

Article de Annie Morin. Le Soleil.

(Montréal) Le CN travaillait avec des estimations très préliminaires quand il s’est engagé dans le programme d’entretien prévoyant une nouvelle peinture pour le pont de Québec. Et c’est pour « se protéger » de tout éventuel dépassement de coûts, un danger «réel», que l’entreprise a limité ses interventions à 60 millions $ sur 10 ans. Le président-directeur général du CN, Claude Mongeau, a témoigné longuement, lundi, au procès civil intenté après la fin précipitée des travaux de peinture du pont, en 2005. Le gouvernement fédéral veut forcer la compagnie ferroviaire, propriétaire de la structure, à compléter le chantier ou, à tout le moins, récupérer l’argent public qui y a été investi.

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