Enfin chez-eux : Deux organismes romualdiens sont maintenant au coeur de l’action

Par | 10 décembre 2009 |

Source : Journal de Lévis

« Nous sommes enfin chez-nous! », a lancé Michel L’Hébreux, président de la Société d’histoire de Saint-Romuald (SHSR), lors de l’inauguration des locaux que l’organisme partage avec Rues principales Saint-Romuald, sur le chemin du Fleuve, à deux pas de l’hôtel de ville.

Depuis sa création il y a 17 ans, la SHRS s’est beaucoup promenée. Les archives se sont retrouvées en divers endroits de la grande ville de Lévis, elles étaient à Charny jusqu’à l’été dernier. « C’était des archives sur roulettes! », a illustré Martine Bussière, coordonatrice de la Corporation Rues principales Saint-Romuald qui partage les locaux avec la société d’histoire.

Les colocataires ont emménagés le 1er septembre et se sont montrés ravis de leur nouveau chez-eux. D’une part, la SHSR a maintenant des locaux mieux adaptés pour conserver ses archives et tenir ses réunions et d’autre part, les deux organismes se retrouvent maintenant au coeur de Saint-Romuald avec pignon sur rue, les rendant ainsi plus accessibles et plus visibles par les citoyens. « Les gens entrent, ils viennent nous voir », a commenté Mme Bussière en rappelant que les deux organismes ont aussi pour mandat d’être présents pour les citoyens.

Quant à la cohabitation entre les deux organismes, elle s’est présentée de façon tout à fait naturelle. « C’est un mariage qui allait de soi, a expliqué Mme Bussière, nous travaillons ensemble depuis environ 10 ans. Parmi ses mandats, Rues principales voit aussi à la promotion du patrimoine romualdien. »

« Nous allons pouvoir faire encore mieux notre travail », a souligné M. L’Hébreux. Maintenant que l’organisme a l’espace nécessaire pour bien classer ses archives provenant de différents dons et fonds, il est envisagé que celles-ci soient accessibles pour consultation par les citoyens. Cependant, beaucoup de travail reste à faire car les documents sont nombreux. « Les archives ne sont pas toutes classées. Les gens nous donnent de plus en plus de choses », a conclu M. L’Hébreux.


Article de Nathalie St-Pierre.
Reproduit avec autorisation.

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