Comme nous le fait part Radio-Canada.ca, il faudrait planter près d’un milliard et demi d’arbres pour contrer les effets anticipés du projet Rabaska sur les émissions de gaz à effet de serre (GES).
La superficie requise pour planter tous ces arbres serait l’équivalent de la moitié de la Nouvelle-écosse.
La facture serait substantielle: à 4 $ l’arbre, ce sont près de 5,5 milliards de dollars qu’il faudrait injecter dans l’opération.
Ce calcul a été fait par l’organisme Arbres Canada à partir d’un logiciel utilisé pour la certification Carbonne zéro.
Le Comité Gare au gazoduc fait remarquer que le logiciel utilisé est le même que celui employé par le député conservateur de Lévis, Steven Blaney, qui a planté 166 arbres pour compenser les activités de son bureau de comté.