Accusé par ses voisins d’avoir abattu des dizaines d’arbres sans permis, le promoteur Jean-Guy Turcotte se scandalise. Le propriétaire des terrains situés sur le chemin Forestier à Saint-Nicolas se dit victime pratique.
Or, de son côté, la porte-parole des citoyens de la rue des Sizerins, Mélanie Tremblay, soutient que M. Turcotte fait une interprétation assez large de son permis.
« Ce contrat-là comprenait le mur de soutènement, le remblai et la pose d’arbres », a-t-elle précisé. Cette dernière ajoute qu’il est pratiquement impossible que l’abattage d’arbres soit autorisé par le certificat que possède M.Turcotte, puisqu’un article très clair de la réglementation stipule que l’abattage en masse nécessite qu’un projet domiciliaire ait été accepté au préalable.
et comme a son habitude ,la ville de Lévis ne fera rien encore une fois, concernant ce manque de respect au patrimoine nature du grand Lévis
Deux rives, deux forme de gestion. Pendant qu’à Québec on sert la vis au promoteurs, à Lévis on continue de ramper mollement face à des développeurs qui ne pense qu’à construire vite vite pendant que le marché est élevé. D’ailleurs je m’intéroge sur la densification à Lévis. Depuis plusieurs années, on nous dit que l’on doit densifier les secteurs urbanisés alors qu’on ne cesse d’ouvrir de nouvelles rues et de dézonner des secteurs agricoles…