Selon Radio-Canada.ca, pendant qu’on attend toujours la décision de Québec d’autoriser la construction de deux ports méthaniers dans la province, un des principaux acteurs en jeu a fait part de son opinion.
Gaz Métro, un des trois partenaires du projet de terminal méthanier Rabaska, à Lévis, soutient qu’il n’y a de la place que pour un seul projet à court terme au Québec.
C’est ce qu’a déclaré la présidente et chef de la direction de Gaz Métro, Sophie Brochu, lors d’une allocution devant les manufacturiers et exportateurs du Québec, à Montréal.
Selon Mme Brochu, il y a trois facteurs qui expliquent que deux ports méthaniers ne pourraient survivre à court terme. Premièrement, elle dit que le marché international ne pourra pas approvisionner les deux terminaux. Deuxièmement, elle indique que les marchés du Québec et de l’Ontario sont trop petits. Finalement, il faudrait doubler les capacités de transport du gaz naturel entre Québec et Montréal, ce qui coûterait 1 milliard de dollars.
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