Archives de la catégorie : Environnement

Odeurs d’essence sur la rue Wolfe : D’étranges cheminées installées près de la défunte station service

Par | 29 avril 2009 |

Article de Marc-André Gagnon. Le Journal de Lévis.

Photo : Le Journal de Lévis

Aux travaux déjà en cours à l’Hôtel-Dieu de Lévis sont récemment venues s’ajouter d’étranges cheminées à la suite de plaintes d’odeurs d’essence face à la défunte station d’essence située sur la rue Wolfe.

En effet, c’est après que les résidents d’une quinzaine de résidences situées à proximité de l’endroit se soient plaint d’odeurs d’essence que le Service de pompiers de Lévis a procédé à des mesures. Comme rien n’apparaissait sur les lectures, explique Christian Brière de la direction des communications à la Ville de Lévis, on a ensuite demandé la collaboration des gens de la raffinerie Ultramar, qui possèdent des appareils plus sophistiqués, de procéder à des analyses supplémentaires mais sans pour autant en apprendre davantage.

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Détecteur de biogaz : 10 000 $ chacun – Engagements de la Ville dans le dossier du Parc du Rigolet

Par | 29 avril 2009 |

Article de Marie-Christine Patry. Le Journal de Lévis.

50 000$ devraient être nécessaires pour installer des détecteurs de biogaz dans les résidences susceptibles d’être touchées par la présence de ces gaz à proximité du Parc du Rigolet à Saint-Romuald.

C’est du moins le montant qui a été indiqué en séance du Conseil de Ville le 20 avril dernier alors que devait être voté le financement de la dépense. Toutefois, selon le conseiller du secteur, Jean-Luc Daigle, ce ne sont peut-être pas cinq détecteurs qui seront nécessaires puisque deux citoyens ont indiqué ne pas vouloir cette installation, les relevés effectués dans leur maison n’indiquant pas la présence de biogaz.

Aussi, M. Daigle précise que les 47 relevés effectués dans les résidences ne montraient aucune problématique sérieuse. Ainsi, alors que la norme canadienne est de 50 parties par million (ppm), la concentration la plus élevée dans une résidence s’élevait à 33 ppm. M. Daigle soutient que la plupart des intervenants croient qu’une mauvaise lecture a été la cause de la controverse créé par la suite autour des dangers des biogaz migrateurs émis par l’ancien site d’enfouissement (Parc du Rigolet).

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Entreposage de matières dites dangereuses : le règlement de Beaumont en Cour d’appel

Par | 29 avril 2009 |

Article de Guy Benjamin. Le Soleil.

Trois juges de la Cour d’appel décideront de la validité d’un règlement de la municipalité de Beaumont empêchant à toutes fins utiles l’implantation de Rabaska sur le territoire de Lévis.

Les élus de Beaumont ont adopté en décembre 2005 un règlement sur l’entreposage de matières dites dangereuses. à cette époque, une municipalité pouvait édicter un règlement qui s’appliquait dans un rayon d’un kilomètre en dehors de ses limites, donc sur une partie du territoire de ses voisines.

Douze jours plus tard, une nouvelle loi sur les compétences municipales entrait en vigueur qui, notamment, ne permettait plus à une municipalité de réglementer ce qui se passait chez ses voisins. Beaumont prétend que son règlement est toujours valide, parce que la nouvelle loi sur les compétences municipales prévoyait le maintien des règlements déjà en vigueur.

évidemment, les promoteurs de Rabaska et la Ville de Lévis ne sont pas de cet avis. Ils font valoir que le règlement de Beaumont n’est jamais entré en vigueur, puisqu’il devait recevoir l’approbation du ministère de l’Environnement. Approbation qui n’est jamais venue en raison de l’entrée en vigueur 12 jours plus tard de la nouvelle Loi sur les compétences municipales.

L’avocat de la municipalité de Beaumont affirme que le règlement est en vigueur parce que l’approbation du ministère était nécessaire uniquement pour réglementer l’entreposage du monoxyde de carbone gazeux. à son avis, le reste du règlement est valide. Donc, pas de gaz naturel liquide de Rabaska à Beaumont et dans une bande d’un kilomètre à Lévis.

=> la suite sur le site de la BAnQ (page 17).

Gazprom n’investirait pas dans Rabaska

Par | 13 mars 2009 |

Article de Pierre Couture. Le Soleil.

Le géant russe Gazprom n’aurait pas l’intention de prendre une participation minoritaire dans le terminal méthanier Rabaska.

C’est du moins ce qu’avance l’analyste russe Dmitri Alexandrov de la firme Financial Bridge de Moscou. Dans une note de recherche envoyée aux investisseurs, l’analyste soutient que Gazprom a abandonné plusieurs projets d’investissements à l’extérieur de la Russie, dont Rabaska.

« Gazprom s’est retiré de sa participation dans le terminal Rabaska au Canada », écrit l’analyste. Selon ce dernier, la faiblesse des prix du gaz naturel en Amérique du Nord aurait incité le géant russe à revoir ses visées expansionnistes au Canada.

Chez Rabaska (formé de Gaz Métro, de Gaz de France et d’Enbridge), on soutient que le retrait de Gazprom comme partenaire éventuel du projet ne compromet en rien la construction du terminal de 1 milliard $ à Lévis, sur la Rive-sud de Québec. La semaine dernière, Rabaska a procédé à l’achat de ses premiers terrains à Lévis.

=> La suite sur le site de la BAnQ (page 27).

Pipeline entre Lévis et Montréal : la CPTAQ contestée : Louis Forget ne s’inquiète pas pour l’avenir du projet

Par | 12 mars 2009 |

Article de Marie-Christine Patry. Le Journal de Lévis.

Depuis le 2 mars dernier à Drumondville, quatre propriétaires terriens contestent la décision de la Commission de la protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ) qui avait donné un avis favorable au projet.

Deux juges du Tribunal administratif devront déterminer si la CPTAQ a erré dans cette décision. Pour Louis Forget, vice-président aux affaires publiques et gourvernementales chez Ultramar, il est peu probable que la décision du Tribunal ne fasse couler le projet. Il explique que les arguments apportés par les propriétaires ne sont en rien nouveaux. « Le premier argument des propriétaires est qu’ils ne pourront plus exploiter leur terre agricole, mais le pipeline est enfoui sous la terre, cela ne change donc rien pour eux », a dit M. Forget. Selon lui, la CPTAQ a analysé le dossier de fond en comble et c’est pourquoi il ne s’inquiète pas outre mesure pour l’avenir du projet de pipeline entre Lévis et Montréal.

M. Forget déplore cependant que la réalisation du projet en soit encore repoussée. « C’est toujours malheureux parce que ça retarde le projet et nous sommes déjà en retard d’un peu plus d’un an et demi », indique-t-il. Ainsi, le Tribunal administratif du Québec a trois mois pour rendre sa décision à la suite des audiences. Pour les audiences publiques de Lévis, M. Forget croit qu’elles devraient avoir lieu au printemps et ensuite ce sera le tour des trois municipalités restantes en Montérégie. « On pourrait en avoir encore pour un an et demi avant d’avoir tout en main pour débuter le projet , a-t-il laissé tomber. Ça fait quatre ans que nous sommes sur le dossier, il faut être patient »


Reproduit avec autorisation.

Rabaska achète pour 2,5 millions $ de terrains à Lévis

Par | 3 mars 2009 |

Article de Pierre Couture. Le Soleil.

Le consortium Rabaska, qui projette de construire un port méthanier d’un milliard de dollars sur la Rive-Sud de Québec, vient d’acquérir ses premiers terrains à Lévis.

Au cours des derniers jours, trois transactions ont permis au consortium mené par Gaz Métro, Gaz de France et Enbridge d’acheter quatre terrains pour la somme de 2,5 millions $. « Ce sont des lots nécessaires à la construction du terminal », a fait savoir mardi le porte-parole de Rabaska, Simon Poitras. Selon ses dires, les terrains achetés s’étendent du fleuve Saint-Laurent à la route 132, puis de cette dernière jusqu’à l’autoroute 20. Deux lots acquis par Rabaska la semaine dernière comportaient des résidences. Ces premiers achats de terrains devraient être suivis par au moins un autre très prochainement, a indiqué le porte-parole de Rabaska.

Selon les ententes conclues avec les propriétaires de ces lots, les montants des transactions incluent notamment la valeur d’achat, le taux d’indexation et les compensations négociées. Pour l’heure, Rabaska dit avoir acheté 4 des 18 terrains nécessaires pour la construction de son terminal.

=> La suite au lesoleil.com.

Émanations de biogaz inquiétantes à Saint-Romuald

Par | 26 janvier 2009 |

Article de Marc St-Pierre. Le Soleil. Reproduit avec autorisation au moment de la publication. Héritage d’une époque où les règles environnementales é­taient ignorées, le sous-sol du quartier Saint-Romuald, à Lévis, émet des biogaz. Ce méthane émane précisément du parc du Rigolet, espace vert situé entre le Juvénat Notre-Dame et le chemin du Fleuve, près de… Lire la suite »

Espace vert contaminé à St-Romuald : une nouvelle étude en vue

Par | 26 janvier 2009 |

Article de Marc St-Pierre. Le Soleil. Reproduit avec autorisation au moment de la publication. La Direction de l’environnement de la Ville de Lévis a refusé de confirmer quoi que ce soit. « Adressez-vous à la Direction des communications. Ou passez par la Loi d’accès à l’information », a indiqué le coordonnateur Christian Guay. Du propos… Lire la suite »

Le parc du Rigolet devait être décontaminé

Par | 26 janvier 2009 |

Article de Marc St-Pierre. Le Soleil. Reproduit avec autorisation au moment de la publication. Quand elle a pris les rênes de la nouvelle grande ville, l’administration du maire Jean Garon a envisagé de décontaminer le parc du Rigolet. à l’époque, le conseiller Alain Lemaire, qui siège maintenant dans l’opposition, était « parrain » du quartier… Lire la suite »

Rabaska maintient le contact avec les propriétaires terriens

Par | 25 janvier 2009 |

Article de Pierre Duquet. Le Peuple Lévis. André L’écuyer, président de Rabaska, réfute les allégations des opposants au projet selon lesquelles les propriétaires de résidences implantées dans la zone de construction et en périphérie sont laissés pour compte en ce moment. M. L’écuyer soutient au contraire qu’il en rencontre régulièrement et que la politique de… Lire la suite »