Scènes d’ici LVI
Une promenade dans le secteur de la marina de St-Romuald a permis à notre collaborateur, Carol Proulx, de prendre ces trois photos.
Une promenade dans le secteur de la marina de St-Romuald a permis à notre collaborateur, Carol Proulx, de prendre ces trois photos.
On le croyait parti, mais il est de retour…
Carol Proulx, notre collaborateur nous propose 2 photos prises dans le secteur de la bibliothèque de Saint-Romuald.
Article de Nathalie St-Pierre. Le Journal de Lévis.
Les roues sous plusieurs formes seront à l’honneur dans le Vieux-Lévis le 30 mai prochain. L’événement Lévis sur roues proposera une course de boîtes à savon, une exposition de voitures anciennes, une compétition de planches à roulettes et plus encore.
« Lévis sur roues permettra aux gens de Lévis et de l’extérieur de se rassembler dans une ambiance festive tout en découvrant notre magnifique quartier : le Vieux-Lévis. Non seulement, l’organisation de cette activité participe au développement économique de Lévis en encourageant les commerces et les entreprises, mais elle contribue également à créer un sentiment d’appartenance à notre quartier et à notre ville en faisant découvrir les attraits du Vieux-Lévis. Le 30 mai, le plaisir sera au rendez-vous », a indiqué Martin Bergeron, directeur de la Corporation de développement du Vieux-Lévis.
Les activités se tiendront sur la rue Saint-Louis entre la côte du Passage et la rue Napoléon. Lévis sur roues est une initiative de la Corporation de développement du Vieux-Lévis en collaboration avec différents partenaires, dont la Ville de Lévis, l’école de conduite Rond-Point de Lévis, Five-O Boardshop, l’Association des coureurs de boîtes à savon du Québec, l’Association des Belles Autos d’Hier et la Courtisane.
Le site Internet de l’activité est maintenant en ligne au www.levis-sur-roues.com.
En complément de l’article de jeudi dernier.
Article de Pierre Duquet. Le Peuple Lévis.
L’entreprise lévisienne Creaform a reçu, lundi dernier, une aide financière non remboursable de 138 000$ pour la démonstration et la commercialisation d’un nouvel appareil innovateur destiné au développement de jeux vidéo et de films d’animation. L’annonce en a été faite par le député de Lévis, Gilles Lehouillier.
L’appui financier accordé au nom du ministre du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation, Raymond Bachand, servira à commercialiser le nouveau scanneur couleur VIUscan 3D. La principale innovation de cet appareil portable est sa capacité à numériser autant la forme que les couleurs des objets. De plus, l’appareil permet de réduire considérablement le temps de numérisation.
En effet, la numérisation et le traitement de l’image d’une maquette de personnage à l’aide de ce nouvel appareil nécessitent environ 2 heures, comparativement à 3 jours avec la méthode conventionnelle. « Ce nouveau scanneur qui n’a pas d’équivalent dans le monde, a souligné le député Gilles Lehouillier, sera utilisé par deux partenaires stratégiques de Creaform, soit InfixLabs de Los Angeles et Beenox de Québec qui vont intégrer cette technologie à leur processus de développement de films d’animation et de jeux vidéos. »
Démonstration convaincante
Creaform qui est spécialisée dans la conception et la fabrication de scanneurs à main autopositionnés pour la numérisation 3D de la gamme Handyscan 3D mise beaucoup sur ce nouveau produit, car il va lui procurer un rayonnement international, croit Charles Mony, président de l’entreprise. Lors du point de presse, on a pu assister à une démonstration probante au cours de laquelle la moitié d’un globe terrestre a été numérisée en trois dimensions en un temps record.En outre, ce dernier a indiqué que dans un avenir plus ou moins lointain cette technologie sera accessible dans les foyers. Sans l’avoir confirmé, il a laissé entendre que des entreprises comme Microsoft et Apple s’intéressaient aux possibilités du VIUscan 3D. Il semble aussi que Creaform va procéder à une annonce importante dans les prochaines semaines.

Reproduit avec autorisation au moment de la publication sur ce blogue.
Article de Pierre Couture. Le Soleil.
Le géant russe Gazprom n’aurait pas l’intention de prendre une participation minoritaire dans le terminal méthanier Rabaska.
C’est du moins ce qu’avance l’analyste russe Dmitri Alexandrov de la firme Financial Bridge de Moscou. Dans une note de recherche envoyée aux investisseurs, l’analyste soutient que Gazprom a abandonné plusieurs projets d’investissements à l’extérieur de la Russie, dont Rabaska.
« Gazprom s’est retiré de sa participation dans le terminal Rabaska au Canada », écrit l’analyste. Selon ce dernier, la faiblesse des prix du gaz naturel en Amérique du Nord aurait incité le géant russe à revoir ses visées expansionnistes au Canada.
Chez Rabaska (formé de Gaz Métro, de Gaz de France et d’Enbridge), on soutient que le retrait de Gazprom comme partenaire éventuel du projet ne compromet en rien la construction du terminal de 1 milliard $ à Lévis, sur la Rive-sud de Québec. La semaine dernière, Rabaska a procédé à l’achat de ses premiers terrains à Lévis.
=> La suite sur le site de la BAnQ (page 27).

Aujourd’hui, je vous présente 3 entrepreneurs (de gauche à droite : Marcel Noël, Nicolas Huard et Sylvain Gobeil). Ces messieurs sont les propriétaires du restaurant La Piazetta du boulevard de la Rive-Sud à Lévis. C’est en invitant de nombreux clients lors d’un souper V.I.P. qu’ils ont présenté la nouvelle décoration intérieure de leur restaurant qui a déjà 17 années d’existence. Bravo messieurs et longue vie !
Article de Marie-Christine Patry. Le Journal de Lévis.
Lire la suite »Profitant de la proximité de Québec, mais pâtissant de la présence d’entreprises manufacturières, Lévis sera-t-elle gravement affecté par la crise économique? Bien que nul ne puisse prédire l’avenir, l’économiste principale au Mouvement Desjardins Joëlle Noreau analyse la situation.
Après que le quotidien Le Soleil ait publié la semaine dernière un dossier sur la situation privilégiée de la région de Québec face à la crise succédé d’un autre sur Chaudière-Appalaches intitulé Nuages noirs à l’horizon, il est de mise de savoir ce qui pourrait advenir de notre ville. Selon Mme Noreau, Lévis a plusieurs éléments stabilisateurs qui pourraient lui permettre de bien se sortir du ralentissement économique. Elle mentionne tout d’abord le nombre élevé de gens résidant à Lévis occupant des emplois pour la fonction publique sur la Rive-Nord, donc des postes plutôt assurés.
Ensuite, Mme Noreau souligne la présence de Desjardins et les nombreuses embauches réalisées dans le domaine de l’assurance. Bien que le Mouvement ne soit pas à l’abri des conséquences du contexte économique, il est dans une position beaucoup plus stable que les entreprises manufacturières, explique-t-elle.
Article de Marie-Christine Patry. Le Journal de Lévis.
Depuis le 2 mars dernier à Drumondville, quatre propriétaires terriens contestent la décision de la Commission de la protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ) qui avait donné un avis favorable au projet.
Deux juges du Tribunal administratif devront déterminer si la CPTAQ a erré dans cette décision. Pour Louis Forget, vice-président aux affaires publiques et gourvernementales chez Ultramar, il est peu probable que la décision du Tribunal ne fasse couler le projet. Il explique que les arguments apportés par les propriétaires ne sont en rien nouveaux. « Le premier argument des propriétaires est qu’ils ne pourront plus exploiter leur terre agricole, mais le pipeline est enfoui sous la terre, cela ne change donc rien pour eux », a dit M. Forget. Selon lui, la CPTAQ a analysé le dossier de fond en comble et c’est pourquoi il ne s’inquiète pas outre mesure pour l’avenir du projet de pipeline entre Lévis et Montréal.
M. Forget déplore cependant que la réalisation du projet en soit encore repoussée. « C’est toujours malheureux parce que ça retarde le projet et nous sommes déjà en retard d’un peu plus d’un an et demi », indique-t-il. Ainsi, le Tribunal administratif du Québec a trois mois pour rendre sa décision à la suite des audiences. Pour les audiences publiques de Lévis, M. Forget croit qu’elles devraient avoir lieu au printemps et ensuite ce sera le tour des trois municipalités restantes en Montérégie. « On pourrait en avoir encore pour un an et demi avant d’avoir tout en main pour débuter le projet , a-t-il laissé tomber. Ça fait quatre ans que nous sommes sur le dossier, il faut être patient »
Article de Marc-André Gagnon. Le Journal de Lévis.
Le gouvernement du Québec a annoncé lundi l’octroi d’une aide financière de 138 000$ à l’entreprise lévisienne Creaform afin que de cette dernière puisse démontrer et commercialiser un appareil de numérisation couleur 3D à l’échelle internationale.
Lancé l’an dernier, le VIUscan 3D est un appareil portable de haute technologie capable de numériser autant la forme que la couleur des objets. En conférence de presse, l’équipe de Creaform a démontré les capacités de l’appareil en numérisant la surface d’un globe terrestre avant que celui-ci se retrouve en quelques minutes tout en couleurs et en trois dimensions sur un écran haute définition.
Grce à l’aide financière versée par le gouvernement du Québec, l’entreprise dont la gamme de produits développée est aussi utilisée dans les secteurs de l’automobile, du transport, de l’aéronautique et des soins médicaux pourra répéter l’expérience de façon évidemment plus poussée à l’étranger.
« Cette vitrine technologique nous garantira l’avantage inestimable de rayonner à l’échelle internationale », a déclaré M. Charles Mony, président de Creaform. Ce dernier a jugé l’arrivée de cette aide comme étant un « grand moment » pour son entreprise qui a pied à terre dans le Vieux-Lévis, dans les anciens locaux de la Financière agricole sur la rue St-Georges.
Article de Pierre Pelchat. Le Soleil.
La Ville de Lévis fera sa part dans l’éventualité où le Mouvement Desjardins donne le feu vert à la construction d’un nouvel immeuble d’une dizaine d’étages pouvant loger 1000 employés dans la rue des Commandeurs.
Les autorités municipales ont modifié dernièrement un règlement afin que la Ville assume le coût des travaux de relocalisation, d’ajout ou de réaménagement des infrastructures municipales si la valeur d’un nouveau bâtiment est d’au moins 60 millions $.
« Ce changement vise dans un premier temps le projet de Cité Desjardins, mais aussi d’autres grands projets pour le futur. Ça va s’autofinancer avec les revenus de taxes », a indiqué, hier, au Soleil, Alain Blanchette, le porte-parole de la mairesse Danielle Roy Marinelli.
Le mois dernier, l’hebdomadaire LeJournal de Lévis a dévoilé que le groupe Pomerleau sera responsable de la construction de l’immeuble se référant à de l’information diffusée sur le site Internet de l’entrepreneur. On laissait entendre que la décision d’aller de l’avant était prise.
=> La suite suur le site de la BAnQ (page 14).