Source : Le Soleil
La collecte sélective à Lévis et à Saint-Lambert-de-Lauzon a connu un vif succès depuis deux ans, à la suite de la distribution des gros bacs bleus. Le nombre de tonnes de matières recyclables qui ont été recueillies a bondi de 50 %, pour atteindre 12 831 tonnes.
«Avec la distribution de sacs à poignée dans les édifices de plusieurs logements, nous devrions atteindre cette année l’objectif de récupérer 60 % des cartons, du papier, du verre, des contenants fixé dans la politique québécoise», a indiqué, hier, Christian Paré, coordonnateur du plan de gestion des matières résiduelles à la Ville de Lévis.
Ce qu’on récupère par le bac bleu n’est qu’une part de toutes les matières recyclables. Au total, à Lévis, le taux de récupération est de 38 % en raison principalement de l’absence de collecte de déchets de table. Cette proportion était de 26 % en 2002. On constate une tendance similaire dans de nombreuses villes au Québec.
«Pour vraiment augmenter notre niveau de récupération, il faudra éventuellement une troisième collecte, soit celle des matières organiques comme les déchets de table. Cela représente un potentiel de 8000 à 10 000 tonnes par année», a expliqué M. Paré.
L’an dernier, il s’est récupéré à Lévis 7123 tonnes de résidus verts, de branches, d’arbres de Noël en incluant le compostage domestique. Pour atteindre l’objectif de 60 % de récupération, il faudrait amasser plus de 5000 tonnes de déchets de table, ce qui est pour l’heure impossible à Lévis.
Les autorités municipales attendent de voir les résultats de projets-pilotes de cueillette des déchets de table à Québec et dans d’autres municipalités avant de se lancer dans une nouvelle phase de recyclage. On espère aussi que le gouvernement du Québec débloquera les fonds pour aider les municipalités à développer la collecte des résidus de table.
Objectif dépassé
Grâce à la Ressourcerie, la collecte de vêtements a dépassé l’objectif. Au lieu de 449 tonnes, on a ramassé 600 tonnes de textiles l’an dernier, soit 34 % de plus que les attentes.
Il reste encore du travail à faire du côté de la récupération de ce qu’on appelle les déchets encombrants (appareils électroménagers, meubles). L’objectif n’a été atteint qu’à 70 %. En 2008, Lévis souhaite augmenter la récupération de résidus dangereux d’un autre 57 tonnes.
L’an dernier, plus de 2700 kg de piles domestiques usées ont été récupérées dans les bibliothèques de la ville.
Aussi intéressant à lire dans Le Soleil ce matin et hier: – Un méthanier à la dérive : On parle d’un méthanier qui a tombé en panne près de Boston. On montre l’inquiétude des gens là-bas et on fait le lien avec LÉVIS et Rabaska. – Béchard remet en doute la réalisation de Rabaska à Lévis, faute d’approvisionnement
??? pas rapport avec le billet !
Je dirais même plus… pas rapport pantoute!
Je ne faisais que donner d’autres articles qui parlent de Lévis dans Le Soleil mais qui ne se retrouvaient pas sur le blogue..C’est pas très compliqué
Que vient faire l’article de Boston, doit-on associer une crise du pétrole dans le monde parce qu’il y Ultramar chez-vous ? Anonymous ne voit que du danger partout. Brrr! ne sort surtout pas de ta maison, il y a du danger partout, houuuu 🙂
je crois que t’as mal lu. Le but est de montrer que les promoteurs mentent encore lorsqu’ils disent qu’il ne se passe jamais rien avec ces bateaux là…Ca brise comme le reste et ca dérive…maintenant quelles sont les risques avec Rabaska…Le BAPE répond et je cite : Les risques « PARAISSENT » acceptables. Ils disent aussi plus loin qu’ils n’ont pas fait appel à des spécialistes car il n’avait pas de budget…
Je pense que vous n’êtes pas dans le bon billet. L’article parle de collecte sélective…
C’est fantastique comment la communauté a pu atteindre un bon de 50% dans la récupération. Donc, les grands bacs à couvert bleu on bien fait le travail et les lévisiennes et lévisiens également. Je crois que tout le monde a mis son coeur dans l’option verte et y croit. Bientôt ce sera le compost, qui embarque ??