Article de Pierre Duquet. Le Peuple Lévis. Alors qu’il est question de covoiturage, de voies réservées au transport collectif et d’élargissement des artères routières, ce dont on parle moins, ce sont les bénéfices que pourrait retirer une ville d’une meilleure synchronisation des feux de circulation. Le CAA-Québec s’est intéressé à la fluidité de la circulation… Lire la suite »
Article de Pierre Duquet. Le Peuple Lévis. La synchronisation plus fine des feux de circulation, pour améliorer la fluidité, est une solution parmi d’autres, admet le CAA-Québec. Il estime néanmoins que les villes devraient y porter une plus grande attention. La porte-parole du CAA-Québec, Anne-Sophie Hamel, indique qu’il était important de publier un article pour… Lire la suite »
Article de Valérie Gaudreau. Le Soleil. (Québec) Nouvel épisode dans la défense du pont de Québec : l’administration Labeaume veut faire reconnaître cette « merveille d’ingénierie » comme patrimoine mondial de l’humanité. « Nous allons entreprendre des démarches auprès de Patrimoine Canada pour que le pont de Québec soit inscrit sur la liste indicative des… Lire la suite »
Article de Jean-Michel Genois Gagnon. Le Soleil. (Québec) Les élus qui ont promis 100 millions $ pour revigorer le pont de Québec ne se laissent pas démonter par le refus du président-directeur général du CN d’allonger le moindre sou. « Je veux réitérer que notre gouvernement conservateur s’est engagé à investir un montant de 75… Lire la suite »
Le Pont de Québec est dans l’actualité depuis la sortie récente des maires de Québec et Lévis sur l’entretient de celui-ci. Outre ses qualités du point de vue architectural et patrimonial, le Pont de Québec reste un atout pour le transport dans la région. Oublions le tramway qui devait emprunter le pont de Québec. Parlons plutôt d’une toute autre approche, le ferroutage comme principe pour améliorer la fluidité du transport inter-rives.
Selon Wikipédia, le ferroutage, ou transport « combiné accompagné », consiste à charger des camions complets sur un train : le tracteur, la remorque et le chauffeur. C’est une forme de transport combiné qu’il ne faut pas confondre avec le transport de conteneurs, dit « combiné non accompagné ». Il n’est pas question de cela ici mais plutôt du ferroutage d’autocar.
Le ferroutage d’autocar n’est pas un nouveau concept puisque l’on en retrouve des traces dès 1931 en Grande-Bretagne et dans les années 1960 aux États-Unis d’Amérique. L’autocar utilisé au ferroutage se distingue par une adjonction de mini-roues à flasque mais la traction du véhicule en tant que tel reste assurée par les pneumatiques.
Avec de légers aménagements au circuit des rails aux extrémités du Pont de Québec et surtout la mise en place de parcours rapides et l’aménagement de stationnements incitatifs, le Pont de Québec deviens une alternative intéressante pour une voie de circulation supplémentaire entre Lévis et Québec. Le Pont est sous utilisé actuellement avec seulement 4 passages de trains du CN quotidiennement. Ajoutons à cela quelques passages de trains VIA par jour. Les rails du Pont de Québec demeurent donc largement disponibles pour un autre usage que le transport par train.
En réaction à la sortie médiatique des maires de Québec et Lévis la semaine dernière, dans une publicité publiée samedi dans plusieurs grands quotidiens, le Canadien National se défendait de négliger le pont de Québec, assurant que l’entreprise n’avait pas le mandat d’en assurer l’esthétisme. Le CN ramenait du même coup l’idée de refiler l’infrastructure… Lire la suite »
Article de Raphaël Lavoie. Le Journal de Lévis.
À défaut de se faire entendre par la direction du CN, les maires de Lévis et de Québec, Gilles Lehouillier et Régis Labeaume, s’adressent maintenant par le biais d’une lettre à l’actionnaire principal de l’entreprise ferroviaire, nul autre que l’homme d’affaires Bill Gates, afin que ce dernier s’implique dans le dossier du pont de Québec et demande la reprise des travaux de réfection du lien routier.
Envoyée aujourd’hui en français et en anglais au multimilliardaire, la lettre de deux pages dresse un portrait, photos à l’appui, de la situation actuelle du pont de Québec, de son empreinte patrimoniale à la bataille juridique et politique qui fait rage au Québec et au Canada depuis l’abandon des travaux de réfection par le CN en 2005.
On y fait par ailleurs grandement appel à la notion de responsabilité morale et civique du transporteur ferroviaire quant à l’entretien du célèbre pont qui relie Lévis et Québec.
Article de Valérie Bidégaré. Le Journal de Québec. La Ville de Lévis veut elle aussi se doter d’une voie réservée au covoiturage et analyse présentement un scénario d’aménagement sur l’autoroute 20. « On est en train de regarder une possibilité de scénario de covoiturage avec une 3e voie sur l’autoroute 20. Ce serait l’accotement un… Lire la suite »
Article de Stéphanie Martin. Le Soleil. (Québec) Lévis entre dans le Circuit électrique avec l’installation d’ici 2017 de 12 bornes de recharge de véhicules électriques, dont la première borne de recharge rapide le long de l’autoroute 20. Les ventes de voitures électriques ont connu une hausse fulgurante depuis 2010. Alors qu’à peine 300 voitures de… Lire la suite »
Article de Raphaël Lavoie. Le Journal de Lévis.
Les maires de Lévis et de Québec, Gilles Lehouillier et Régis Labeaume, ont uni leurs voix plus tôt cet après-midi afin de faire pression publiquement sur le propriétaire du Pont de Québec, le Canadien National (CN), afin qu’il mette en branle le plus rapidement possible la réfection du lien routier qui relie les deux rives.
« Nous intervenons aujourd’hui pour dire haut et fort que la réfection du pont ne doit plus tomber dans l’oubli et que le temps est maintenant venu de passer à un autre mode que le recours aux tribunaux », a lancé d’entrée de jeu le maire de Lévis en conférence de presse à l’Aquarium de Québec, avec comme toile de fond le sujet même de la rencontre.
De ce fait, MM. Lehouillier et Labeaume ont spécialement convoqué la presse pour dénoncer l’immobilisme du CN dans le dossier de l’entretien du Pont de Québec.
Selon les deux hommes, le lien routier est laissé pour contre depuis trop longtemps par l’entreprise ferroviaire et Québec et Lévis se doivent de monter aux barricades pour sauver ce qu’ils qualifient de pièce maitresse du patrimoine et du réseau routier de la région.
« Il y a un propriétaire qui voudrait nous faire accepter qu’à chaque fois qu’on entre dans la ville, tout ce qu’on voit, c’est une pourriture. Comment peut-on penser que nous on va accepter ça, a soutenu Régis Labeaume. Je suis persuadé que dans les bénéfices de 2,5 milliards $ au dernier trimestre, le CN pourrait trouver les quelques millions qu’il manque pour terminer le travail qui a été amorcé et abandonné. »
