Face à une bonne dizaine de citoyens présents lors de la séance ordinaire du conseil municipal du 25 mars pour réclamer, de plus belle, l'abolition des sifflets de train à Charny, le maire de Lévis, Gilles Lehouillier, a affirmé être encore loin d'une entente avec le Canadien National (CN). Depuis la fin des années 1990, les sifflets de train irritent les citoyens de Charny. L'abolition de ceux-ci est un dossier qui traine depuis 2013, alors qu'à la suite de demandes citoyennes, l'administration Lehouillier s'était penchée sur le dossier afin d'atténuer ou d'abolir l'usage des sifflets de train en plein cœur de Charny. À la suite du dépôt de deux pétitions, en 2014 et en 2020, la Ville de Lévis avait entamé, en novembre 2020, des démarches pour que les trains du CN cessent de siffler lors de leurs passages sur quatre traverses de ce quartier, situées sur les avenues des Églises et des Générations, le chemin de Charny et la rue de la Traverse. S'inspirer de Sherbrooke Maintenant, en 2024, avec le dossier bloqué, de nombreux citoyens ont pris la parole lors de la dernière séance du conseil municipal de la Ville de Lévis pour interroger le maire à ce sujet.Lire la suite »]]>
Face à une bonne dizaine de citoyens présents lors de la séance ordinaire du conseil municipal du 25 mars pour réclamer, de plus belle, l’abolition des sifflets de train à Charny, le maire de Lévis, Gilles Lehouillier, a affirmé être encore loin d’une entente avec le Canadien National (CN).
Depuis la fin des années 1990, les sifflets de train irritent les citoyens de Charny. L’abolition de ceux-ci est un dossier qui traine depuis 2013, alors qu’à la suite de demandes citoyennes, l’administration Lehouillier s’était penchée sur le dossier afin d’atténuer ou d’abolir l’usage des sifflets de train en plein cœur de Charny.
À la suite du dépôt de deux pétitions, en 2014 et en 2020, la Ville de Lévis avait entamé, en novembre 2020, des démarches pour que les trains du CN cessent de siffler lors de leurs passages sur quatre traverses de ce quartier, situées sur les avenues des Églises et des Générations, le chemin de Charny et la rue de la Traverse.
S’inspirer de Sherbrooke
Maintenant, en 2024, avec le dossier bloqué, de nombreux citoyens ont pris la parole lors de la dernière séance du conseil municipal de la Ville de Lévis pour interroger le maire à ce sujet.
]]>« Pour avoir concerté personnellement des maires et des directeurs généraux de plus de 20 villes, de Rimouski à Montréal, le problème des sifflets de train a été réglé entre un an et demi et trois ans de leur côté. Lors de l’élaboration de votre stratégie et tout au long du cheminement de ce dossier, depuis 2013, avez-vous discuté avec les autres municipalités? », a d’abord lancé le résident de Charny, Alain Bilodeau.
« Est-ce que le conseil municipal pourrait considérer la participation active du comité de citoyens à l’arrêt des sifflets de train lors des prochaines rencontres comme il se fait à Sherbrooke et dans d’autres villes », a ensuite questionné un autre résident de Charny, ce à quoi le maire a répondu par l’affirmative.
Un dossier bloqué
« L’exemple de Sherbrooke, on le suit de très près. C’est certain que leur réalité n’est pas la même que la nôtre parce que chaque secteur a ses problèmes particuliers. Par contre, nous sommes en contact avec Sherbrooke et nous pensons même faire front commun avec eux pour infléchir l’action », a répondu le maire de Lévis, Gilles Lehouillier.Cependant, ce qui a créé l’impasse dans le dossier, ce sont « les trop grandes demandes du CN », selon le maire. Ce dernier s’est d’ailleurs dit « exaspéré » de cette situation. En effet, Lévis se dit prêt à offrir environ 2,5 M$, alors que le CN attend environ 6 M$.
« On sait ce qu’on a à faire, on sait les mesures de mitigation et on a consulté notre population. Par contre, c’est comme si le CN nous demandait de payer la modernisation de leur équipement en plus. Il n’existe aucun organisme de médiation et l’office national des transports refuse de se mêler à ça parce que c’est la Loi sur la sécurité ferroviaire qui s’y applique. On fait quoi nous quand on est dans un dilemme comme cela? De plus, à Charny, il y a le plus gros centre de transferts ferroviaire de tout l’est du Canada », a indiqué Gilles Lehouillier, qui a aussi mentionné que la Ville a également entrepris des démarches avec la Santé publique de Chaudière-Appalaches.
Une lueur d’espoir ?
Puis, le maire de Lévis a ajouté qu’il lancera un ultimatum au Canadien National prochainement et que cette approche représente « un espoir possible ».« Dès la prochaine assemblée publique, nous avons demandé d’adopter une résolution pour demander une rencontre ultime avec le CN, c’est la seule façon d’y arriver. Aussi, à compter du 15 avril, il se pourrait qu’on ait, de la part des gouvernements, un nouveau programme d’aide des passages à niveau. Si le programme voit le jour, on pourrait obtenir des subventions pour la réalisation de nos travaux. On nous a aussi indiqué que nous aurions l’appui du bureau de Martine Biron si l’on dépose un projet. Nous pourrions donc avoir une aide financière de l’ordre de 50 % de Transports Canada et 37 % du provincial, alors ça commence à être intéressant », a conclu Gilles Lehouillier.
Rien ne se passe comme le prévoyait la paroisse Saint-Joseph-de-Lévis et le groupe de citoyens qui désirait mettre la main sur l’église de Pintendre afin de conserver le temple dans le paysage du quartier lévisien. En raison de délais pour l’approbation de la transaction par l’archidiocèse de Québec, les travaux de réaménagement de l’édifice ne sont toujours pas lancés. Rappelons qu’à la fin de 2023, le Journal dévoilait que la paroisse Saint-Joseph-de-Lévis, qui veut se départir de l’église de Pintendre considéré comme un «bien excédentaire», avait trouvé une solution pour assurer l’avenir du site. Après des consultations avec le milieu, l’organisme lévisien avait décidé de vendre l’église à une compagnie formée de quatre familles de Pintendre. Par contre, la paroisse allait rester actionnaire de l’église, tout en déléguant sa gestion à la corporation. Pour répondre à l’augmentation du nombre d’élèves fréquentant l’école primaire des Moussaillons, située à proximité de l’église, les investisseurs ont prévu détruire la sacristie pour y aménager un nouveau bâtiment plus moderne accueillant six classes. Quant à elle, la nef de l’église doit être désacralisée pour devenir une salle communautaire à location, futur espace qui serait autant utilisé par les élèves de l’École des Moussaillons que la paroisse pour ses messes à Pintendre.Lire la suite »]]>
Rien ne se passe comme le prévoyait la paroisse Saint-Joseph-de-Lévis et le groupe de citoyens qui désirait mettre la main sur l’église de Pintendre afin de conserver le temple dans le paysage du quartier lévisien. En raison de délais pour l’approbation de la transaction par l’archidiocèse de Québec, les travaux de réaménagement de l’édifice ne sont toujours pas lancés.
Rappelons qu’à la fin de 2023, le Journal dévoilait que la paroisse Saint-Joseph-de-Lévis, qui veut se départir de l’église de Pintendre considéré comme un «bien excédentaire», avait trouvé une solution pour assurer l’avenir du site.
Après des consultations avec le milieu, l’organisme lévisien avait décidé de vendre l’église à une compagnie formée de quatre familles de Pintendre. Par contre, la paroisse allait rester actionnaire de l’église, tout en déléguant sa gestion à la corporation.
Pour répondre à l’augmentation du nombre d’élèves fréquentant l’école primaire des Moussaillons, située à proximité de l’église, les investisseurs ont prévu détruire la sacristie pour y aménager un nouveau bâtiment plus moderne accueillant six classes. Quant à elle, la nef de l’église doit être désacralisée pour devenir une salle communautaire à location, futur espace qui serait autant utilisé par les élèves de l’École des Moussaillons que la paroisse pour ses messes à Pintendre.
La corporation désirait amorcer les travaux de réaménagement dès décembre, pour une livraison en juillet. Cependant, l’archidiocèse de Québec a bouleversé l’échéancier. L’organisation, propriétaire légal des églises catholiques sur le territoire, a pris plus de temps que le prévoyaient les partisans du projet avant de donner son feu vert.
]]>« La transaction a été approuvée avec lenteur. Toutes les autres procédures pour lancer les travaux étaient prêtes, mais le transfert de propriété n’a été acceptée que la semaine dernière. […] Le promoteur Marc Gosselin, qui était en charge du projet, s’est retiré (en raison des délais). On va resolliciter les familles de Pintendre qui avaient décidé d’investir et on va se trouver un nouveau chef d’équipe. Ça devrait se faire puisque les gens de Pintendre tiennent à leur église », a expliqué Roger Lachance, marguillier à la paroisse de Saint-Joseph-de-Lévis et responsable des communications du comité de l’organisation sur l’avenir de ses églises.
Appel à Drainville
Roger Lachance, également ancien maire de Pintendre avant les fusions municipales qui a lancé la mobilisation pour trouver un projet de revitalisation de l’église, a donc écrit au ministre de l’Éducation du Québec et député de Lévis, Bernard Drainville, afin d’obtenir son aide.« Ce projet déjà accepté par les autorités scolaires locales, au moyen d’une proposition de bail à long terme, semble vouloir être abandonné, en conséquence de la lenteur excessive des autorités ecclésiastiques. […] Je vous demande donc d’intervenir directement, pour sauver ce projet et d’une pierre deux coups, favoriser l’épanouissement scolaire des élèves du primaire de Pintendre tout en assurant la pérennité du seul vrai monument historique de cette localité, l’église Saint-Louis-de-Pintendre, qui deviendrait ainsi une école et un espace communautaire non confessionnel», peut-on lire dans la missive de M. Lachance à l’élu caquiste.
Invitée à réagir à cette demande, la conseillère politique responsable de la Chaudière-Appalaches au cabinet du ministre Drainville, Isabelle Lavallée, a souligné que le projet d’ajout de classes n’était mis que sur pause pendant quelques temps dû à des délais.
« Pour la suite des choses, nous allons rester en suivi de ce beau projet porté par le milieu et les soutenir dans leurs recherches de solutions. Nous allons aussi organiser une rencontre entre M. Drainville (circonscription de la fabrique), Stéphanie Lachance (députée de Bellechasse, où se trouve l’église), M. Lachance et d’autres personnes impliquées au niveau du conseil de Fabrique », a ajouté Mme Lavallée.
En plus de cette rencontre à venir avec les élus provinciaux, l’assemblée de fabrique de la paroisse Saint-Joseph-de-Lévis, lors de sa réunion du 13 mars, a formé un comité de soutien aux instigateurs du projet de Pintendre.
Formé d’Anne Carrier, architecte, Bruno Montminy paroissien, et Roger Lachance, marguiller de la paroisse, le comité a pour mandat «d’obtenir toutes les informations relatives à l’état actuel de la situation et de bien identifier les causes et les solutions possibles à l’imbroglio qui met en cause la mise en œuvre d’un projet d’une telle envergure». De plus, le comité devra rencontrer les autorités scolaires locales dans le but de reprendre le dialogue qui avait permis un tel avancement de ce projet.
Le Centre de services scolaire des Navigateurs (CSSDN) a également confirmé que de nouveaux pourparlers devront être menés.
« Nous procédons actuellement à l’analyse d’acquisition de classes modulaires pour la rentrée de septembre 2025. Si leur localisation précise n’est pas encore arrêtée, il est d’ores et déjà assuré que ces locaux seront rattachés à l’une des écoles du secteur Pintendre. Si le projet devait être relancé avec l’église, il faudrait procéder à une nouvelle évaluation en temps et lieu. Il est difficile de s’y engager à l’avance. Notre préoccupation actuelle est de pouvoir loger tous nos élèves pour la prochaine rentrée et nous y travaillons activement », a déclaré Louise Boisvert, porte-parole du CSSDN.
L'organisme Action patrimoine presse la Ville de Lévis d’agir pour la sauvegarde du moulin Gosselin, dernier moulin qui subsiste sur son territoire et ancien repaire du peintre Albert Rousseau. L’édifice est maintenant inaccessible au public et l’organisme craint qu’il soit mal entretenu. Construit en 1835 par Benjamin Dubois et Flavien Loignon, le moulin borde la rivière Beaurivage à Saint-Étienne-de-Lauzon. Il a été exploité à partir de 1871 par la famille Gosselin, qui faisait la coupe d’arbres abattus le long des rivières Chaudière et Beaurivage, selon un portrait historique du moulin fait dans le journal Le Soleil en 1985. Son état inquiète Action patrimoine, qui a reçu un signalement et des photos de la part du public. Le moulin semble montrer des signes de détérioration préoccupants, indique l’organisme. Des images prises en été sur le site semblent montrer quelques morceaux de bardeaux abîmés sur la toiture.=> La suite à ici.radio-canada.ca. => Pour lire l'article de 1985 dont il est question, rendez-vous ICI sur le site de la BAnQ.]]>
L’organisme Action patrimoine presse la Ville de Lévis d’agir pour la sauvegarde du moulin Gosselin, dernier moulin qui subsiste sur son territoire et ancien repaire du peintre Albert Rousseau. L’édifice est maintenant inaccessible au public et l’organisme craint qu’il soit mal entretenu.
Construit en 1835 par Benjamin Dubois et Flavien Loignon, le moulin borde la rivière Beaurivage à Saint-Étienne-de-Lauzon. Il a été exploité à partir de 1871 par la famille Gosselin, qui faisait la coupe d’arbres abattus le long des rivières Chaudière et Beaurivage, selon un portrait historique du moulin fait dans le journal Le Soleil en 1985.
Son état inquiète Action patrimoine, qui a reçu un signalement et des photos de la part du public. Le moulin semble montrer des signes de détérioration préoccupants, indique l’organisme. Des images prises en été sur le site semblent montrer quelques morceaux de bardeaux abîmés sur la toiture.
=> La suite à ici.radio-canada.ca.
=> Pour lire l’article de 1985 dont il est question, rendez-vous ICI sur le site de la BAnQ.
Après 22 ans d’activité, c’est la fin pour le Cinéma des Chutes, dans le secteur Saint-Nicolas à Lévis, qui cédera sa place à un nouveau supermarché de la bannière Maxi. Le propriétaire, Sylvain Gilbert, a confirmé au Journal que la dernière représentation aura lieu le 24 mars prochain, à l’établissement de la route des Rivières. « C’est sûr que ça fait de quoi. J’ai travaillé quand même ici 22 ans, ça fait quelque chose. Par contre, la décision est prise, elle est mûrie et elle est aussi un peu encouragée par mes proches », confie l’homme d’affaires, qui avait repris les rênes de l’entreprise de son père en 2009.=> la suite au journaldequebec.com.]]>
Après 22 ans d’activité, c’est la fin pour le Cinéma des Chutes, dans le secteur Saint-Nicolas à Lévis, qui cédera sa place à un nouveau supermarché de la bannière Maxi.
Le propriétaire, Sylvain Gilbert, a confirmé au Journal que la dernière représentation aura lieu le 24 mars prochain, à l’établissement de la route des Rivières.
« C’est sûr que ça fait de quoi. J’ai travaillé quand même ici 22 ans, ça fait quelque chose. Par contre, la décision est prise, elle est mûrie et elle est aussi un peu encouragée par mes proches », confie l’homme d’affaires, qui avait repris les rênes de l’entreprise de son père en 2009.
=> la suite au journaldequebec.com.
]]>Commençons par un saut de cinq années.
En 2019, il était question encore une fois de la peinture de notre vénérable pont de Québec. Selon les estimations du gouvernement fédérale, on estimait alors les coûts pour repeinturer le pont à 559 M$ : 559 M$ pour repeinturer le pont de Québec
Comme autre sujet, il était également question d’interconnexion entre les autobus de la Société de transport de Lévis (STLévis) et de ceux du RTC à Québec : Interconnexion : les autobus de Lévis iront à Québec
2014 ?
En 2014, il était beaucoup question du 3e liens entre Lévis et Québec. Eh oui ! C’est que c’était en mars 2014 que la chambre de Commerce de Lévis (CCL) avait relancé ce vieux sujet avec la divulgation d’une vidéo et d’un site web sur le sujet.
Aussi :
■ Tunnel sous-fluvial : le préfet de la MRC de l’Île d’Orléans sceptique.
■ Les appuis se multiplient pour le tunnel Québec-Lévis.
2009 ?
En 2009, il était encore question du projet Rabaska. On apprenait entre autres qu’après bien des tergiversations que la multinationales russe Gazprom a abandonné plusieurs projets d’investissements à l’extérieur de la Russie, dont Rabaska : Gazprom n’investirait pas dans Rabaska.
Sinon il était aussi beaucoup question du projet d’un tout nouveau pôle dans la ville de Lévis, soit celui de l’Innoparc.
■ Un laboratoire grandeur nature pour l’Innoparc.
■ Projet révolutionnaire à Lévis.
2004 ?
En 2004, on était en plein dans la saga de Rabaska.
■ Projet de port méthanier : trop risqué selon le GIRAM.
■ Port méthanier : Beaumont manifeste son intérêt.
Sinon c’est également en 2004 qu’a été inauguré le Super C en lieu et place du motel du Rond-Point : Le nouveau Super C de Lévis est maintenant ouvert.
Mars dans l’histoire de Lévis c’est souvent synonyme de tempête de neige. En 1947, Lévis avait été touchée lourdement par une de ces tempête. J’avais relaté l’histoire de cette tempête dans cet article.
]]>À la mi-mars, le secteur de Saint-Romuald verra le centre Pickleball Lévis, le premier centre de pickleball intérieur de la région de Québec, ouvrir ses portes. Installé au 256, rue de la Grande-Hermine, le complexe, qui voit le jour grâce à un investissement de près de 2 M$, prendra la place d’une usine de métal. « Notre installation va permettre de revitaliser le secteur de Saint-Romuald, de donner accès à la population à des plateaux sportifs de haute qualité et de créer des emplois dans le secteur », a mentionné d’emblée Jean Malboeuf, du groupe Pickleball Lévis. Un besoin à combler D’ailleurs, selon les dires de ce dernier, un tel complexe était « nécessaire » à Lévis puisqu’il viendra répondre à « un besoin criant sur le territoire ». « Il y a réellement un manque de terrains à Lévis. Les joueurs se cherchent des plages horaires et peuvent presque seulement jouer dans des gymnases qui ne sont pas adaptés au sport. Le bassin de joueurs à Lévis est important et il y avait déjà eu des demandes pour un centre comme celui-ci, autant à Lévis qu’à Québec », a indiqué Jean Malboeuf. Le nouveau centre, d’une superficie de 17 000 pieds carrés, misera sur six terrains intérieurs de calibre professionnel dans une aire de jeu de 11 000 pieds carrés, un espace bar Le PickleBar doté d’un espace lounge de 2 000 pieds carrés, deux salles de réunion et des vestiaires modernes. Aussi, un partenariat avec Pickleball ProSport permettra d’offrir services et équipements sur place dans l’espace boutique Le Pickleshop.Lire la suite »]]>
À la mi-mars, le secteur de Saint-Romuald verra le centre Pickleball Lévis, le premier centre de pickleball intérieur de la région de Québec, ouvrir ses portes.
Installé au 256, rue de la Grande-Hermine, le complexe, qui voit le jour grâce à un investissement de près de 2 M$, prendra la place d’une usine de métal.
« Notre installation va permettre de revitaliser le secteur de Saint-Romuald, de donner accès à la population à des plateaux sportifs de haute qualité et de créer des emplois dans le secteur », a mentionné d’emblée Jean Malboeuf, du groupe Pickleball Lévis.
Un besoin à combler
D’ailleurs, selon les dires de ce dernier, un tel complexe était « nécessaire » à Lévis puisqu’il viendra répondre à « un besoin criant sur le territoire ».« Il y a réellement un manque de terrains à Lévis. Les joueurs se cherchent des plages horaires et peuvent presque seulement jouer dans des gymnases qui ne sont pas adaptés au sport. Le bassin de joueurs à Lévis est important et il y avait déjà eu des demandes pour un centre comme celui-ci, autant à Lévis qu’à Québec », a indiqué Jean Malboeuf.
Le nouveau centre, d’une superficie de 17 000 pieds carrés, misera sur six terrains intérieurs de calibre professionnel dans une aire de jeu de 11 000 pieds carrés, un espace bar Le PickleBar doté d’un espace lounge de 2 000 pieds carrés, deux salles de réunion et des vestiaires modernes. Aussi, un partenariat avec Pickleball ProSport permettra d’offrir services et équipements sur place dans l’espace boutique Le Pickleshop.
]]>Un sport accessible pour tous
Plusieurs ligues pour tous les calibres de joueurs seront disponibles, autant de jour que de soir, en plus de plages horaires de pratiques libres, de tournois, de cours privés ou de groupes et sessions d’initiation au pickleball, camps de jour-relâche et activités corporatives. Un récent partenariat avec l’académie Hugues Laverdière pour le volet enseignement vient aussi d’être conclu pour la formation d’une équipe de cinq entraîneurs.« Nos partenariats vont permettre de grandement nous aider à initier plusieurs nouvelles personnes au pickleball. Ça va être très professionnel et avec du matériel de grande qualité à la disposition des joueurs », a expliqué Jean Malboeuf.
Avec une réponse déjà « très positive » de la population, et ce, avant même l’ouverture de Pickleball Lévis, Jean Malboeuf mentionne vouloir « faire découvrir ce sport aux citoyens ». D’ailleurs, leur page Facebook compte déjà près de 500 abonnés en à peine deux mois d’activité.
« La Ville de Lévis nous a aussi accordé une aide financière de 22 600 $ dans le cadre de la Politique de soutien aux projets structurants (PSPS) visant à améliorer nos milieux de vie. C’est une aide qui est grandement appréciée! Quand la Ville l’a annoncé, on s’attendait à ce qu’on parle de nous sur le territoire, mais pas à ce point-là. On a été surpris de voir l’engouement qu’il y a présentement. Nous, on se donne comme objectif principal pour nos débuts de faire connaître le sport à ceux qui le connaissent peu et de combler les besoins et la demande », a conclu Jean Malboeuf.
Le gouvernement du Québec acquiert les terres de Rabaska, à Lévis, pour une somme de 38 millions de dollars. Sur les 270 hectares disponibles, 109 auront une vocation agricole. Le ministre de l'Économie, de l'Innovation et de l'Énergie, Pierre Fitzgibbon, le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, André Lamontagne, et le ministre responsable de Chaudière-Appalaches, Bernard Drainville, en ont fait l'annonce mercredi. « Je pense que c'est un très bon prix quand on compare aux autres terrains qui ont été vendus dans le bout ! » -Une citation de Pierre Fitzgibbon=> La suite sur ici.radio-canada.ca.]]>
Le gouvernement du Québec acquiert les terres de Rabaska, à Lévis, pour une somme de 38 millions de dollars. Sur les 270 hectares disponibles, 109 auront une vocation agricole.
Le ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, Pierre Fitzgibbon, le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, André Lamontagne, et le ministre responsable de Chaudière-Appalaches, Bernard Drainville, en ont fait l’annonce mercredi.
« Je pense que c’est un très bon prix quand on compare aux autres terrains qui ont été vendus dans le bout ! » -Une citation de Pierre Fitzgibbon
=> La suite sur ici.radio-canada.ca.
]]>Il y a dix ans, soit en 2014, voici ce qui faisait l’actualité. Il était beaucoup question de transport en commun.
En 2004 c’est la fin de l’hôtel Rond-Point qui alimentait les discussions.
Le motel Rond-Point était d’abord une auberge de 3 chambres avec 7 cabines. Son ouverture remonterait à la fin des années 40. Son premier propriétaire a été Gérard Poulin. Son deuxième propriétaire, qui a acquis les cabines Rond-point vers 1953, était Jeannot Breton. Il a eu les cabines Rond-point jusqu’en 1957-58. Il y avait ouvert un restaurant et un poste d’essence. Par la suite, les Cabines Rond-point sont devenues le Motel Rond-Point jusqu’en 2004. Un IGA trône maintenant sur le terrain du défunt motel Rond-Point.
Sur ce sujet, je vous invite à visiter ce qui se trouve via ces deux liens :
Il était également question de projets (encore une fois) pour revitaliser le site de l’ancienne usine l’Hoir en bordure du Fleuve.
Au final, l’ancienne usine l’Hoir a été démolie en septembre 2007.
]]>Établie depuis près de deux ans dans le quartier Saint-Romuald, la Boulangerie Croissant de Lune a une sœur depuis le 8 février. Dans un concept bonifié comparativement à celui de la Rive-Sud, Killian Scharlipp s’attaque au marché de Sainte-Foy. En effet, le boulanger d’origine française offrira ses produits dans les locaux auparavant occupés par le restaurant Bon Matin, près du chemin Saint-Louis et de l’avenue des Hôtels à la tête des ponts. Contrairement à son établissement de la rue Saint-Robert à Saint-Romuald où il n’offre que ses boulanges, des pâtisseries et des produits européens, l’établissement Croissant de Lune de Sainte-Foy offre également café et brunchs. C’est grâce à la trentaine de places assises disponibles dans son nouvel établissement de Sainte-Foy que Killian Scharlipp peut offrir cette formule différente sur la Rive-Nord.Lire la suite »]]>
Établie depuis près de deux ans dans le quartier Saint-Romuald, la Boulangerie Croissant de Lune a une sœur depuis le 8 février. Dans un concept bonifié comparativement à celui de la Rive-Sud, Killian Scharlipp s’attaque au marché de Sainte-Foy.
En effet, le boulanger d’origine française offrira ses produits dans les locaux auparavant occupés par le restaurant Bon Matin, près du chemin Saint-Louis et de l’avenue des Hôtels à la tête des ponts.
Contrairement à son établissement de la rue Saint-Robert à Saint-Romuald où il n’offre que ses boulanges, des pâtisseries et des produits européens, l’établissement Croissant de Lune de Sainte-Foy offre également café et brunchs. C’est grâce à la trentaine de places assises disponibles dans son nouvel établissement de Sainte-Foy que Killian Scharlipp peut offrir cette formule différente sur la Rive-Nord.
]]>« J’habite à Sainte-Foy et je sais qu’il y a une grande demande pour les produits que nous offrons, soit des pains avec de la farine biologique. Sur le chemin Saint-Louis, il y a très peu de boulangeries et énormément de demande. J’ai eu la chance de récupérer ce local tout équipé et de pouvoir ouvrir ce second établissement », a expliqué le boulanger, sur l’origine de son nouveau projet entrepreneurial.
La Boulangerie Croissant de Lune de Saint-Romuald jouera un important rôle dans cette nouvelle aventure puisque que toute la production du groupe s’y déroulera. Si l’expérience de Sainte-Foy s’avère concluante, Killian Scharlipp aimerait bien ouvrir un établissement du même genre à Lévis où ses clients pourraient également déguster ses produits en prenant sur place un café ou lors d’un brunch.
« Si ça fonctionne, on aimerait faire la même chose dans un axe aussi passant avec de la visibilité que le chemin Saint-Louis. À Lévis, il n’y a pas de boulangerie qui permet de consommer sur place les produits, ce qui nous permettrait de se démarquer », a illustré M. Scharlipp.
Notons finalement que l’ouverture de la Boulangerie Croissant de Lune de Sainte-Foy permet de créer entre cinq et dix emplois. Ces nouveaux membres de l’entreprise se joignent aux neuf employés œuvrant actuellement à la Boulangerie Croissant de Lune de Saint-Romuald.